jeudi 11 février 2016

QUATRE (4) CENT-SOIXANTE-QUINZE (75)

Guy et Carole

Il s'est passé tellement de choses depuis décembre dernier que ça se bouscule à la porte du CRAPAUD.

Lors du dernier saut, je vous ai posté plusieurs photos prises d'Émile à du voyage avec Carole et Guy. Sur la même voie, ça sera à leur tour - chère Carole et l'ami Guy, de nous permettre de revoir des images en refaisant le tour de ces quatre semaines merveilleuses.

Nous nous connaissons, Carole et moi, depuis l'automne 1995; pour l'ami Guy, depuis son mariage avec celle qui a été, est et sera une personne essentiellement importante dans ma vie. Combien de fois ai-je dit à quel point j'aime sa vivacité, son intelligence sans détours, sa perspicacité sagace et clairvoyante? Je me permets de le répéter. Il est rare dans la vie d'un homme de pouvoir rencontrer une âme soeur et, comme je le suis, pouvoir profiter d'une amitié inébranlable comme celle qui nous lie.

Nous avons travaillé ensemble durant de nombreuses années. Tous les jours j'apprenais d'elle: j'apprends toujours. Je me souhaite encore long de temps à profiter de sa grandeur d'âme, son inimaginable humanité et beaucoup de son écoute à la fois attentive, généreuse et tellement enrichissante.

Carole c'est l'image parfaite de la réalisation des rêves. N'ayant pas la tête dans les nuages, son immense capacité à cristalliser les rêves les plus fous m'a toujours inspiré. Je me suis donné entièrement avec elle au travail et, pour récompense, je me suis nourri des réalisations que certains voyaient irréalisables.

Ce voyage au Vietnam, je l'ai souhaité, je m'y suis consacré comme rarement auparavant car je le voulais à sa hauteur, celle de Carole, hauteur du Fansipan.

Merci d'être dans ma vie, au coeur de mes folies, au centre de mes rêveries.


Et ce cher Guy, cet homme que tout le monde aime dès qu'il s'en approche, tu es le compagnon de Carole, l'homme de sa vie et c'est beaucoup pour cela que tu vaux de l'or pour moi. Le ''lent homme'' de notre groupe hétérogène, chaque jour tu nous égayais, chaque jour me surprenais par tes observations justes et amusantes; chaque jour j'aurai appris à te connaître mieux, t'apprécier davantage.

Ce fut fort agréable de voyager avec toi. Ta joie de vivre et cette belle faculté à écouter m'ont plu; j'en retiens de belles leçons.

Merci d'avoir fait ce voyage, toi l'homme casanier comme tu te plais à le dire.

Et voici les images que j'ai retenues de vous.




 SAÏGON




VERS PHU QUOC


DA LAT














HOÏ AN



 HALONG BAY









HANOÏ



On se revoit pour les noces de Piero, en décembre prochain!

Un être dépressif - 14 -

  Un être dépressif - 14 - C’est à partir du poème de Jean DUGUAY, mon ami psychologue-poète, que je lance ce billet.                      ...