mercredi 28 juillet 2010
Le trois cent soixante-douzième saut / Le trois-cent-soixante-douzième saut
Voici une autre série de citations offertes en ordre alphabétique d’auteurs.
Petite caractéristique : chacune ne dépasse pas (ou de très peu) une ligne.
C’est comme changer le vin rouge de l’année contre le rosé de l’été.
Bonne lecture.
. Vous n’êtes que des masques sur des faces masquées.
Guillaume Apollinaire
. Une vie, c’est la reprise d’un destin par une liberté.
Simone de Beauvoir
. Les pauvres ont plus besoin de rêves que de pain.
Georges Bernanos
. Aucun oiseau ne vole trop haut s’il vole de ses propres ailes.
William Blake
. On obtient plus de choses en étant poli et armé qu’en étant juste poli.
Al Capone
. La mort expire dans une blanche mare de silence.
Aimé Césaire
. La légèreté du rire vous console d’avoir les semelles si lourdes pour vous rendre à l’échafaud.
Jean Cocteau
. C’est que nous n’osons pas, ouvertement, avoir besoin les uns des autres.
Colette
. Moi, je suis seul, tandis qu’eux, ils sont tous.
Dostoïevski
. Les mots n’ont rien su dire
André Frénaud
. tu étais sur mon cœur une rumeur de neige
Federico Garcia Lorca
. Le néant néantise.
Martin Heidegger
. Il a un très grand cœur, grand comme sa tristesse.
Rafaat Hossaïni
. L’abîme est là qui gronde, et les enfants sourient.
Victor Hugo
. Accueillir la froideur du glaive avec la froideur de la pierre.
Kafka
. la mémoire est une chambre absolue
Tania Langlois
. Quelque chose d’infini arrivait à sa fin.
Gabriel Garcia Marquez
. … l’espoir, ce carcan des pauvres.
Gaston Miron
. Avant de savoir les mots pour vivre, il est déjà temps de mourir.
Jean-Guy Pilon
. j’apprends progressivement le rampage sous les barbelés
Danny Plourde
. Arrivés de toujours, qui t’en iras partout.
Arthur Rimbaud
. Se perdre est le seul endroit où il vaille vraiment la peine d’aller.
Tiziano Scarpa
. Tout ce qui est grandiose est aussi difficile à réaliser que rare.
Spinoza
. je marche vers chaque fatigue humaine
Marie Uguay
. Le «moi» est cela qui est peu.
Pierre Vadeboncoeur
. Sur ce dont je ne peux parler, j’ai l’obligation de me taire.
Wittgenstein
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