Le crapaud, encore sous le charme et l'émotion de la journée de vendredi, en ce 24 juin - celle du BOULEAU - ne peut écrire que quelques mots, à peine.
60 ans, c'est un peu moins que les 84 de Fleurette; une année de moins que Françoise, ma soeur ainée, une de plus que mon frère Pierre, trois pour mon frère Jacques, cinq de ma soeur Louise et onze de plus que ma jeune soeur, Sylvie...
Aussi, à 30 ans de ma fille Catherine, 31 de Mathilde, ma deuxième fille et 34 d'Odile ma troisième fille.
L'âge qu'il est difficile de montrer sur les mains quand vous le demandent Émile - 5 ans le 14 juillet, Léa - 3 ans depuis le 4 février -et Arthur - 2 ans le 6 juillet-. Il faudrait dix fois leurs mains réunies...
Journée du BOULEAU que ce 24 juin, dans l'horoscope gaulois... Journée, aussi, de tant de souvenirs pour le crapaud qui, derrière la Maison du Ruisseau, près d'un étang où le matin baigné de soleil, on entendait la douce chanson d'une grenouille s'amusant à suivre les libellules lui passer au-dessus du nez... soixante fois plutôt qu'une, il ne pouvait que croire plus encore aux beautés de la famille, de la nature, de l'humanité et de l'amour réunies...
En ce vendredi, le BOULEAU se sentait davantage Saule Pleureur... Entouré de tout ce monde essentiellement primordial, franchissant un cap, celui d'une décenie à une autre, je dois dire qu'une pensée spéciale montait vers ce CHÊNE que fût pour nous tous, Gérard...