jeudi 30 septembre 2010

Le trois cent quatre-vingt-deuxième saut / Le trois-cent-quatre-vingt-deuxième saut




Un dernier saut avant de prendre l’avion pour Barcelone dans un peu plus de 48 heures.

Rappeler qu’à partir du 3 octobre prochain, ça sera sur le blogue Jean / Pierre et la route…

que le crapaud s’entretiendra avec vous en tenant une sorte de carnet de voyage.

Information : j’ai décidé de ne pas me rendre au Vietnam. Surprise? Oui et non.

L’an dernier, avant de partir pour le périple de trois mois qui s’est achevé trois semaines plus tard,

j’avais eu comme des signes – j’en parlais dans un saut – non pas négatifs mais qui semblaient

m’indiquer que ce voyage ne se rendrait pas à terme.

Je ne les avais pas écoutés sans doute parce qu’à ce moment-là, ennuyé par la période de

convalescence reliée au tendon d’Achille, je n’avais qu’une idée en tête, partir au plus coupant.

Cette fois-ci, je suis comme plus attentif. Depuis le départ de mon ami Pierre vers l’Asie, je sens

comme une espèce d’ambivalence : un jour c’est oui pour le Vietnam, l’autre non, sans trop être

en mesure de dire exactement pourquoi. Il me semble que l’intérêt devrait être à son comble

et à la place, c’est une hésitation qui apparaît pour ensuite disparaître puis revenir.

Je ne sais pas ce que cela veut dire mais ça m’a obligé à prendre la décision

de remettre mon séjour prévu au Vietnam.

C’est vrai de dire que je suis davantage de tempérament européen qu’asiatique, vrai également

que le fait de ne pas avoir séjourné à Paris depuis 2006 alors que j’y suis allé

avec mon frère Jacques

a sans doute, inconsciemment, pesé dans la balance.

Ou encore est-ce les nombreuses heures de vol? Ou, je ne sais quoi?...

Voilà pour l’information.

Je retourne à ma valise. Il ne faut pas que j’oublie mon Federico Garcia Lorca :

ça sera spécial de le lire dans son pays natal.

À la prochaine

lundi 20 septembre 2010

Le trois cent quatre-vingt-unième saut / Le trois-cent-quatre-vingt-unième saut

La chorale (Jean-Luc, Jean et Gérard)

Des sauts de crapaud cet automne, il n’y aura plus beaucoup. Non pas que je me prépare tout doucement à hiberner – d’ailleurs, les crapauds hibernent-ils ? – mais je concentrerai plutôt mes «écritures» à partir d’octobre sur l’autre blogue, celui du voyage, celui sur lequel mon ami monsieur Larose dépose actuellement quelques traces asiatiques…

Je vous laisse l’adresse :

http://jeanpierrelaroseturcotte.blogspot.com/

Ceci étant dit, je vous donne les composantes actuelles de ce voyage que j’entreprends avec mon ami Jean-Luc, celui de la chorale qui sera amputée momentanément de notre indispensable Gérard. Ces composantes risquent, comme dans tout bon voyage, de se modifier selon la couleur du jour ou encore l’attrait d’une route plutôt qu’une autre.

Nous partons de Montréal le samedi 2 octobre pour arriver à Barcelone (Espagne) le lendemain, dimanche 3 octobre. Nous y resterons trois nuits avant de nous diriger vers Soria où nous retrouverons Carlos, un ex-beau-frère de Jean-Luc. Là, nous comptons bien nous faire «hispanoliser» si le terme peut s’utiliser, je pense surtout à mieux apprécier le vin espagnol, la cuisine espagnole, la langue espagnole…

Biarritz nous attend le 15 octobre et de là nous entreprendrons la partie française du voyage devant nous conduire à Paris le 28. Quelques points de chute que l’on envisage : Arcachon, la Dune du Pilat, Bordeaux et sa région; La Rochelle et sa région; Rennes dernière escale avant la Capitale. Paris une semaine, c’est-à-dire jusqu’au départ de Jean-Luc qui dira, j’en suis certain, «à l’an prochain» terre française.

Nous serons à ce moment-là en novembre, le 4. Jean-Luc de retour, ma fille Mathilde devrait arriver sur Paris pour y passer au moins une semaine. Nous logerons dans le 18ième arrondissement, tout près de la Porte de Clignancourt. Pour moi, ça sera une deuxième semaine parisienne. C’est peu pour celui qui a raté la majeure partie de son voyage l’an dernier pour les raisons que l’on connait et sur lesquelles je ne veux pas revenir.

Autour du 15 novembre, je devrais normalement rejoindre mon ami monsieur Larose qui sera à Ho Chi Minh-Ville depuis près de deux mois.

Voilà, sommairement, le planning à moins de deux semaines du départ. J’espère que vous nous suivrez de manière virtuelle. De toute manière, sur les deux blogues

LE CRAPAUD GÉANT DE FORILLON

et

JEAN/PIERRE ET LA ROUTE...

il vous sera possible, d’un seul clic, de passer de l’un à l’autre.

À la prochaine.

dimanche 12 septembre 2010

Le trois cent quatre-vingtième saut / Le trois-cent-quatre-vingtième saut



Éclectique
En vrac
Et
Échevelé



Les Insolences du frère Untel ont 50 ans

Déjà. Cela ne rajeunit personne!
Je me souviens d’avoir croisé le frère Untel (Jean-Paul Desbiens) lors d’un congrès de la SSJB quelques années après la parution du livre qui lançait le débat sur l’état de la langue au Québec. En quelle année c’était, ma mémoire fait défaut mais je me rappelle que son intervention avait été à la hauteur de son livre et que plusieurs prises de position de la vieille société nationaliste s’en inspirèrent.
Questions. C’est la journée des questions, semble-t-il!
La situation a-t-elle changé? Des pas gigantesques ont été enregistrés surtout au niveau de l’enseignement de la langue malgré que l’on identifie toujours certaines lacunes. Sur le plan politique, la loi 101 a institué le français comme langue officielle au Québec et on a créé des mécanismes pour surveiller son application. Le ministère de l’Éducation qui n’existait pas il y a 50 ans oblige les jeunes Québécois à fréquenter l’école jusqu’à l’âge de 16 où ils reçoivent des services éducatifs dans leur langue maternelle. Il a parmi ses mandats de voir à ce que l’enseignement du français (et de l'anglais) soit de qualité et évalué périodiquement.
Autre question. Vous vous y attendiez, j’en suis certain. La voici : si le frère Untel réécrivait son livre, 50 ans plus tard, sur quoi porteraient exactement ses «insolences»? L’insolence est souvent attribuée à un inférieur, celui-ci manquant de respect pour un supérieur. Corollaire : y avait-il derrière les textes de Desbiens une certaine volonté d’affronter ses supérieurs ecclésiastiques qui l’auraient obligé à demeurer dans l’anonymat un certain temps et, je crois, même empêché d’assister au lancement du livre lui-même.
Une chose est certaine, la parution des Insolences du frère Untel eut l’effet d’une bombe dans notre société qui sortait à peine de l’ère de Duplessis.


Réseau Liberté-Québec

Le pendant canadien du Tea Party of Canada qui lui-même a un petit frère américain le Tea Party , le Réseau Liberté-Québec a été créé par une poignée de militants qui utilisent les réseaux sociaux (Facebook, Twitter) afin de partager leurs idées de droite. L’individualité se veut la valeur centrale et les contrôles gouvernementaux leur donnent de l’urticaire.
En octobre prochain, on tiendra à Québec, ville où semble-t-il les idées conservatrices et libertariennes poussent dans un terreau fertile, un rassemblement au cours duquel des conférenciers dont le chef de l’ADQ seront présents.
Ma question en lien avec la naissance de ce mouvement est la suivante : pourquoi? Comme vous pouvez le constater cette question je l’ai murie avant de la poser… En fait j’ai peine à comprendre qu’après les années Bush, les problèmes économiques reliés à tout le système financier et cela à travers le monde, l’arrivée de Barack Obama à la présidence des USA, de l’évidence que la mondialisation ne profite qu’aux riches et aux multinationales, comment peut-on expliquer que des mouvements de droite puissent encore resurgir?
À suivre. J’ai hâte de voir comment cela va s’installer au Québec surtout, me semble-t-il, que tous nos partis politiques penchent drôlement à droite présentement.


Gaz de schiste


C’est à la fois complexe et bien simple. On nous a expliqué comment on allait procéder pour l’extraire, que des recherches de l’ordre de 200 millions de dollars ont été entreprises afin de mesurer l’étendue de ce potentiel qui dort depuis des siècles sous notre sol. Il ne semble pas s’en formaliser, ce gaz de schiste qui, selon les experts, rapporterait des dividendes extraordinaires.
C’est tout de même intéressant de remarquer que l’ancien PDG d’Hydro-Québec, celui qui nous a permis de survivre à la crise du verglas de 1998, soit un des plus ardents promoteurs de l’exploitation du gaz de schiste; je parle ici de monsieur André Caillé.
Deux questions me tarabustent. Je les soumets à votre réflexion, vous invitant à les approfondir. Le première : à qui appartient le sol québécois? En corollaire : pourrait-on envisager que le terrain à côté du duquel je vis et sur lequel on découvrirait une quantité exploitable de gaz de schiste, ce terrain devenu la propriété d’une compagnie gazière puisse devenir un puits genre puits de pétrole?
Deuxième question : est-ce que le gaz de schiste s’avèrerait une énergie plus intéressante que l’eau de nos rivières se transformant en électricité? En corollaire : le fait que l’hydro-électricité soit nationalisée au Québec inciterait les compagnies oeuvrant dans le domaine du gaz à se lancer dans l’aventure pour ensuite la refiler au gouvernement à prix d’or?
À suivre également.


Inquiétude

. Est-ce que la menace de bruler le Coran de la part d’un pasteur chrétien est traitée de la même façon aux USA que si un imam annonçait qu’il allait mettre le feu à la Bible?


«un carnet d’ivoire avec des mots pâles»


B L E T (B L E T T E)
(adjectif) : du verbe blettir
. dont la chair, trop mure, s’est ramollie.


B U R G R A V E
(nom masculin)
. dans le Saint-Empire, Commandant d’une ville ou d’une citadelle (fonction, puis titre nobiliaire).

Au prochain saut

mardi 7 septembre 2010

Le trois cent soixante-dix-neuvième saut / Le trois-cent-soixante-dix-neuvième saut



Alors que je suis à lire le dernier Yann Matel (BÉATRICE ET VIRGILE) – un titre qui nous ramène à La divine comédie de Dante – je me retourne vers les notes de lecture qui traitent de l’Holocauste ou des atrocités déployées par les nazis. Elles nous parviendront de Jonathan Little (LES BIENVEILLANTES), de Jorge Semprun (L’ÉCRITURE OU LA VIE), du classique de Primo Lévi (SI C’EST UN HOMME) et finalement de Daniel Mendelsohn (LES DISPARUS).

Little


. Je croyais maintenant mieux comprendre les réactions des hommes et des officiers pendant les exécutions. S’ils souffraient, comme j’avais souffert dans la Grande Action, ce n’était pas seulement à cause des odeurs et de la vue du sang, mais à cause de la terreur et de la douleur morale des condamnés; et de même, ceux que l’on fusillait souffraient souvent plus de la douleur et de la mort, devant leurs yeux, de ceux qu’ils aimaient, femmes, parents, enfants chéris, que de leur propre mort, qui leur venait à la fin comme une délivrance. Dans beaucoup de cas, en venais-je à me dire, ce que j’avais pris pour du sadisme gratuit, de la brutalité inouïe avec laquelle certains hommes traitaient les condamnés avant de les exécuter, n’était qu’une conséquence de la pitié monstrueuse qu’ils ressentaient et qui, incapable de s’exprimer autrement, se muait en rage impuissante, sans objet, et qui devait donc inévitablement se retourner contre ceux qui en étaient la cause première. Si les terribles massacres de l’Est prouvent une chose, c’est bien, paradoxalement, l’affreuse, l’inaltérable solidarité de l’humanité. Aussi brutalisés et accoutumés fussent-ils, aucun de nos hommes ne pouvait tuer une jeune juive sans songer à sa femme, sa sœur ou sa mère, ne pouvait tuer un enfant juif sans voir ses propres enfants devant lui dans la fosse. Leurs réactions, leur violence, leur alcoolisme, les dépressions nerveuses, les suicides, ma propre tristesse, tout cela démontrait que l’autre existe, existe en tant qu’autre, en tant qu’humain, et qu’aucune volonté, aucune idéologie, aucune quantité de bêtise et d’alcool ne peut rompre ce lien, ténu mais indestructible. Cela est un fait, et non une opinion.

Semprun

. Depuis quinze jours, chaque fois que j’avais eu affaire à des gens du dehors, je n’avais entendu que des questions mal posées. Mais pour poser les bonnes questions, peut-être fallait-il déjà connaître les réponses.

. Personne ne peut se mettre à ta place, pensais-je, ni même imaginer ta place, ton enracinement dans le néant, ton linceul dans le ciel, ta singularité mortifère. Personne ne peut imaginer à quel point cette singularité gouverne sourdement ta vie; ta fatigue de la vie, ton avidité de vivre; ta surprise infiniment renouvelée devant la gratuité de l’existence; ta joie violente d’être revenu de la mort pour respirer l’air iodé de certains matins océaniques, pour feuilleter des livres, pour effleurer la hanche des femmes, leurs paupières endormies, pour découvrir l’immensité de l’avenir.



Lévi

. Si c’est un homme

Vous qui vivez en toute quiétude
Bien au chaud dans vos maisons,
Vous qui trouvez le soir en rentrant
La table mise et des visages amis,
Considérez si c’est un homme
Que celui qui peine dans la boue,
Qui ne connaît pas de repos,
Qui se bat pour un quignon de pain,
Qui meurt pour un oui pour un non.
Considérez si c’est une femme
Que celle qui a perdu son nom et ses cheveux
Et jusqu’à la force de se souvenir,
Les yeux vides et le sein froid
Comme une grenouille en hiver.
N’oubliez pas que cela fut,
Non, ne l’oubliez pas :
Gravez ces mots dans votre cœur.
Pensez-y chez vous, dans la rue,
En vous couchant, en vous levant;
Répétez-les à vos enfants.
Ou que votre maison s’écroule,
Que la maladie vous accable,
Que vos enfants se détournent de vous.

Mendelsohn

. Il y a bien des façons de perdre des parents, ai-je pensé : la guerre n’est qu’une parmi d’autres.

. Finalement, nous ne nous trompons pas parce que nous ne faisons pas attention mais parce que le temps passe, les choses changent, un petit-fils ne peut pas être son grand-père, en dépit de tous ses efforts pour l’être; parce que nous ne pouvons jamais être autre que nous-même, prisonnier que nous sommes du temps, du lieu et des circonstances. Quel que soit notre désir d’apprendre, de savoir, nous ne pouvons jamais voir que de nos propres yeux et entendre de nos propres oreilles, et la façon dont nous interprétons ce que nous voyons et entendons, dépend, en dernier ressort, de qui nous sommes et de ce que nous pensons déjà savoir ou désirer savoir.


On verra plus tard ce que Martel a écrit sur le sujet.

Au prochain saut

mercredi 1 septembre 2010

Le trois cent soixante-dix-huitième saut / Le trois-cent-soixante-dix-huitième saut



Éclectique
En vrac
Et
Échevelé



Un hôpital magnétique

C’est un établissement qui favorise l’autonomie professionnelle;
une administration qui appuie ses employés;
un environnement de travail qui permet une bonne collaboration entre les médecins et les infirmières;
une direction qui encourage la formation continue;
un climat de travail qui valorise les relations avec les pairs;
une main-d’œuvre abondante;
une dimension clinique qui fait toute la place au patient;
des soins de grande qualité.

L’Hôpital Général Juif de Montréal appliquerait ce modèle. Est-ce que cela signifie que dans notre système de santé (en fait notre système de gestion de la maladie) tous les hôpitaux qui ne possèdent pas l’étiquette «magnétique» ou ne sont pas en voie d’y parvenir sont des établissements où les éléments ci-haut mentionnés doivent se lire à la forme négative?

La Commission Bastarache

Les plus grandes vérités ne sont pas nécessairement celles que l’on croit. Souvent elles sont cachées derrière de grands mensonges ou encore des évidences qui crèvent les yeux mais que l’on escamote pour la simple raison qu’elles doivent avec le temps s’être éculées.
Chez mon barbier, la semaine dernière, j’ai tout compris des enjeux de la Commission Bastarache (de malins étymologistes relèveront surement l’élément «corrompu» dans la racine anglaise «bastar» du mot Bastarache), et cela par les sages paroles d’un homme d’un certain âge. Il se surprenait d’entendre parmi les clients en attente de tonte le fait que l’on cherche à savoir qui dit vrai et qui ment dans toute cette histoire de nomination des juges du Québec. Souvenez-vous, rappelait-il, que tout gouvernement quel qu’il soit est d’abord redevable à ceux qui lui ont permis de le devenir, et ce n’est surtout pas aux électeurs, ils sont trop nombreux pour être récompensés individuellement. Ce sont les donateurs et parmi eux les plus généreux se verront remercier. Il ne faut pas s’étonner de tout cela puisque ça toujours été et ça risque de le demeurer pour longtemps.
J’admire cette sagesse et remarque en lisant la liste des avocats qui représenteront le premier ministre, le parti libéral et le gouvernement qu’étrangement qu'ils sont tous de près ou de pas trop loin, reliés au premier ministre et au parti libéral. C’est tout à fait normal. Vous et moi n’engagerions pas un procureur si celui-ci ne partageait pas nos valeurs ou notre point de vue sur une cause.
Toutefois, une évidence remonte à la surface: l’un ou l’autre (Jean Charest / Marc Bellemare) ou encore l’un et l’autre, devant le commissaire Bastarache a menti ou devra mentir… ou ne pas se souvenir ce qui parfois signifie la même chose.
Cette histoire nébuleuse n’en cacherait-elle pas plutôt une autre : la vengeance d’un naïf en politique?
À la fin de cette commission d’enquête, souhaitons que la justice ait grandi et que son administration fasse l’objet d’une profonde réflexion.

Jean / Pierre et la route


Mon ami Pierre Larose a mis les pieds au Vietnam au moment où ces lignes sont écrites. Il y sera pour les six prochains mois.
Moi-même, je pars (le 2 octobre) vers l’Espagne pour ensuite entrer en France avec mon ami Jean-Luc Méthé.
Pierre et moi avons convenu d’alimenter chacun de notre côté le blogue Jean / Pierre et la route…
Je vous convie donc à suivre deux itinéraires qui peut-être se croiseront quelque part en novembre. Voici l’adresse :

http://jeanpierrelaroseturcotte.blogspot.com/


Inquiétudes

. un 152ième soldat canadien est mort en Afghanistan;

. le registre des armes à feu risque de mourir à la Chambre des Communes d’Ottawa;

. vaut mieux ne pas être un Roumain séjournant en France actuellement;

. vaut mieux ne pas être un mineur au Chili actuellement;

. les Pakistanais se noient et on se demande à quoi servirait de les aider puisque leur gouvernement ne le fait pas.


Au prochain saut

Si Nathan avait su (12)

Émile NELLIGAN La grossesse de Jésabelle, débutée en juin, lui permettra de mieux se centrer sur elle-même. Fin août, Daniel conduira Benjam...