REGARDS DE GLACE... REGARDS D’ENCRE...
entre plus tard et partir
entre plus tard et partir
l’image éblouie de la lumière
dressée
se reflète
en couleurs diluées
entre partir et plus tard
la fine fleur de l’ombre
arrachée
s’attarde
à un même sol
plus tard, entre partir et revenir
les pas étouffés d’un silence retenu,
soupiré
s’esseule
à l’écho de la fleur
partir entre plus tard et jamais
les cris comme des bruissements
résonnés
s’assomment
au fond de l’infini
entre plus tard et partir
en d’éteintes sécheresses
l’eau s’écoule
sur un pays asséché
la légende du cheval blanc
cheval blanc
sur fond de montagne
fond
en équilibre
amble et trot
une eau jaillissante
puissante
l’enfourchant
s’enfonce
en perles fuyantes
un cheval blanc
vers les nuages froncés
s’accroche à la selle du vent
encore fou de sa source limpide
et que lentement verdisse la terre!
espiègle siècle espéré
le bleu dans le gris des nuages
s’engloutit
en ce matin de porcelaine
un parfum emplit l’espace
hymne imprimé sur la peau
le silence de vos cris
parle de la vie
à la porte du siècle
les jours s’éclairent d’ombre
éparpillant vos joies
la plus belle parole
la redite des paroles éteintes
le cadenas ouvert aux espoirs
afin qu’éclate le siècle espéré
qui sera ce que tu seras,
nue de ce que tu étais
vêtue de qui tu seras
espiègle absente des nuits blanches
fantôme apprivoisé,
spectre envahissant,
marchant ses pas dans les flaques d’eau
comme l’intarissable source jaillissante
coule par vos plaies refermées
un sourire
sur vos avenirs
sur vos bouts de chemin
prend par la main
de celles et de ceux
qui accueilleront l’espiègle siècle espéré
entre plus tard et partir
entre plus tard et partir
l’image éblouie de la lumière
dressée
se reflète
en couleurs diluées
entre partir et plus tard
la fine fleur de l’ombre
arrachée
s’attarde
à un même sol
plus tard, entre partir et revenir
les pas étouffés d’un silence retenu,
soupiré
s’esseule
à l’écho de la fleur
partir entre plus tard et jamais
les cris comme des bruissements
résonnés
s’assomment
au fond de l’infini
entre plus tard et partir
en d’éteintes sécheresses
l’eau s’écoule
sur un pays asséché
la légende du cheval blanc
cheval blanc
sur fond de montagne
fond
en équilibre
amble et trot
une eau jaillissante
puissante
l’enfourchant
s’enfonce
en perles fuyantes
un cheval blanc
vers les nuages froncés
s’accroche à la selle du vent
encore fou de sa source limpide
et que lentement verdisse la terre!
espiègle siècle espéré
le bleu dans le gris des nuages
s’engloutit
en ce matin de porcelaine
un parfum emplit l’espace
hymne imprimé sur la peau
le silence de vos cris
parle de la vie
à la porte du siècle
les jours s’éclairent d’ombre
éparpillant vos joies
la plus belle parole
la redite des paroles éteintes
le cadenas ouvert aux espoirs
afin qu’éclate le siècle espéré
qui sera ce que tu seras,
nue de ce que tu étais
vêtue de qui tu seras
espiègle absente des nuits blanches
fantôme apprivoisé,
spectre envahissant,
marchant ses pas dans les flaques d’eau
comme l’intarissable source jaillissante
coule par vos plaies refermées
un sourire
sur vos avenirs
sur vos bouts de chemin
prend par la main
de celles et de ceux
qui accueilleront l’espiègle siècle espéré
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