Patrick Deville, Prix Fémina 2012 |
J'assistais, hier, le mercredi 27 février 2013, à la séance de signatures de l'écrivain français Patrick Deville, auteur du roman PESTE ET CHOLÉRA qui lui a valu le Prix Fémina 2012. Le sympathique monsieur participera, cet après-midi, à une table ronde à l'Institut français de Saïgon. L'Institut français, c'est en fait l'Institut d'Échanges Culturels Avec la France (IDECAF) qui organise une foule d'activités dont des séminaires de français à l'intention des Vietnamiens intéressés à apprendre la langue de Molière. Aussi, tous les lundis soirs, on y présente dans une salle de concerts qui peut recevoir un peu plus de 2oo personnes, un film; lundi prochain, ça sera Tomboy.
PESTE ET CHOLÉRA raconte l'aventure scientifique et humaine du découvreur de la bacille de la peste, Alexandre Yersin, celui qui écrivait: «Ce n'est pas une vie que de ne pas bouger.» Une rue porte son nom à Saïgon, je la connais bien car elle fait partie du trajet du bus 72, celui qui me conduit de l'appartement au centre-ville.
À la suite de cette rencontre qui a rassemblé une foule impressionnante de personnes à la Librairie Française, et un agréable dîner dans un restaurant spécialisé dans le crabe, j'ai assisté au concert de jazz que donnait Bojan Z dans la même salle de l'Institut. Seul sur scène, ce jazzman serbe né à Belgrade fait principalement carrière en France; il nous a ébloui par son talent qui a lui a valu quelques Victoire de la musique. Je ne connaissais pas ce bonhomme qui a su charmer une salle pleine à craquer avec ses oeuvres personnelles qui font dans le «blues» et frôlent parfois la musique électronique et un Duke Ellington en rappel tout à fait bien senti. Je dois dire que le piano Blüthner sur lequel il s'est exécuté l'a fort bien servi.
Bientôt sur You Tube je réitère l'adresse:
www.youtube.com/channel/UCcfZnorbUYNeITNtr-IGo1A
vous pourrez y voir de petites vidéos sur ces deux événements qui s'inscrivent dans le cadre de l'Année France/Vietnam 2013-2014.
À la prochaine
PESTE ET CHOLÉRA raconte l'aventure scientifique et humaine du découvreur de la bacille de la peste, Alexandre Yersin, celui qui écrivait: «Ce n'est pas une vie que de ne pas bouger.» Une rue porte son nom à Saïgon, je la connais bien car elle fait partie du trajet du bus 72, celui qui me conduit de l'appartement au centre-ville.
À la suite de cette rencontre qui a rassemblé une foule impressionnante de personnes à la Librairie Française, et un agréable dîner dans un restaurant spécialisé dans le crabe, j'ai assisté au concert de jazz que donnait Bojan Z dans la même salle de l'Institut. Seul sur scène, ce jazzman serbe né à Belgrade fait principalement carrière en France; il nous a ébloui par son talent qui a lui a valu quelques Victoire de la musique. Je ne connaissais pas ce bonhomme qui a su charmer une salle pleine à craquer avec ses oeuvres personnelles qui font dans le «blues» et frôlent parfois la musique électronique et un Duke Ellington en rappel tout à fait bien senti. Je dois dire que le piano Blüthner sur lequel il s'est exécuté l'a fort bien servi.
Bientôt sur You Tube je réitère l'adresse:
www.youtube.com/channel/UCcfZnorbUYNeITNtr-IGo1A
vous pourrez y voir de petites vidéos sur ces deux événements qui s'inscrivent dans le cadre de l'Année France/Vietnam 2013-2014.
À la prochaine
Aucun commentaire:
Publier un commentaire