jeudi 29 octobre 2020

TRUMP ou BIDEN

 

  Donald TRUMP

                             

                                                Joe BIDEN













Tant et tant de choses ont été dites au sujet des deux (2) candidats à la présidence des USA qu'en rajouter ne risque qu'être de la répétition.

Tout comme moi, vous avez certainement constaté que cette campagne présidentielle que d'aucuns surnomment "la plus importante dans l'histoire américaine" n'aura finalement gravité qu'autour de la personnalité du 45e Président et de l'ancien Vice-président sous le mandat de Barak Obama.

Voici quelques informations sur chacun d'eux ( DT = Trump) - ( JB = Biden)

Date de naissance :           DT     14 juin 1946  (14/06/1946) Il a donc 74 ans;
                                            JB      22 novembre 1942 (22/11/1942) Il a donc 77 ans;

Lieu de naissance:             DT      New York, État de New York
                                             JB       Scranton, Pennsylvanie

Signes astrologiques:       DT      Gémeaux (signe d'air)
                                             JB       Sagittaire (signe de feu)

Horoscope chinois:           DT      Chien (Feu)
                                             JB      Cheval

Chiffres chanceux:            DT      3, 4 et 9
                                            JB       3, 4 et 9

Formation:                         DT      Académie militaire
                                           JB       Diplômé en droit 

Parti politique:                  DT       Parti républicain
                                          JB        Parti démocrate

 
Leur route vers la Présidence des USA  se situe vraiment à l'opposé. Alors que DT accède au poste de 45e Président en 2016 sans aucune expérience de l'arène politique, Joe Biden y est bien installé depuis plus de 40 ans. Sénateur du Delaware en 1972, il devient le plus jeune élu à ce poste dans l'histoire américaine. Il sera Vice-Président du pays de 2008 à 2016.

La conception de l'État américain est antagoniste, voici quelques exemples:

SANTÉ
deux visions pour s'en prendre au coronavirus et la couverture des frais de santé. Trump veut laisser aller les choses, Biden opte pour des mesures plus agressives, mais tous les deux voient la solution au problème à l'arrivée d'un vaccin.

ÉCONOMIE
intervention du gouvernement fédéral chez Biden avec des augmentations de taxes et libre marché pour Trump.

RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE
le Président actuel n'y croit tout simplement pas alors que son adversaire s'engage dans une économie plus verte.

DISCRIMINATION RACIALE
"la loi et l'ordre" pour Trump alors que son adversaire condamne la haine entre les Blancs et les Noirs sous l'administration actuelle.

AVORTEMENT
un pro-vie (DT) et un pro-choix (JB).

CONTRÔLE DES ARMES
Donald Trump, soutenu notamment par le très puissant lobby pro-arme et Biden veut interdire la vente des fusils d’assaut et contrôler plus strictement les antécédents des potentiels acquéreurs.

POLITIQUE ÉTRANGÈRE
"America first" pour le Président alors que l'ancien Vice-Président s'aligne sur les positions de Barak Obama.


Ces questions sont, bien sûr, rapidement exposées, mais démontrent que l'on est face à deux visions des USA  fort différentes. D'ailleurs, la campagne électorale nous aura permis de constater que les Américains constituent une bien drôle, pour ne pas dire étrange de société.

Qu'arrivera-t-il le 3 novembre prochain ? Suspense ou tout est joué actuellement ?

LE CRAPAUD y va de sa prédiction: un balayage démocrate.

L'indicateur qui a tendance à ne pas se tromper, alors qu'on ne peut plus se fier aux sondages - Hilary Clinton de 2016 s'en rappelle certainement - c'est le vote par anticipation. Plus de 70 millions d'Américains se sont déjà prévalu de ce droit et ils ont voté assez tôt pour être certains que leur voix puisse être tenu en compte.

Je suis en accord avec l'idée que cette élection risque de changer la donne géopolitique de notre monde et comme les résultats du Président actuel sont très peu reluisants, son attitude agressive ne semble plus faire peur à qui que ce soit, se révélant un triste reality-show.


LES DÉFIS DU NOUVEAU PRÉSIDENT AMÉRICAIN :

1) s'engager dans une économie verte et proposer un pacte environnemental plus agressif que les Accords de Paris;

2) reconnaître que les USA perdent leur hégémonie dans le monde et n'encourager que les systèmes politiques qui s'appuient sur l'adhésion de leurs populations;

3) favoriser la détente avec la Chine tout en demeurant ferme envers elle qui semble vouloir reconstruire son ancien empire;

4) replacer l'être humain au centre de l'édifice sociétal ; un être humain qui ne se définit pas selon la couleur de sa peau, son sexe et ses antécédents de richesse qui ne sont parfois qu'une résultante de leurs différences, mais plutôt  une personne en marche vers le bonheur et le respect mutuel;

5) devenir un vecteur de paix mondiale.



La liste pourrait s'étirer et se calquer aux caractéristiques propres aux gens de l'Est, de l'Ouest, du Nord, du Sud.

La pandémie de la covid-19 fera tomber un des hommes politiques les plus nuisibles du XXIe siècle qui ne lit le monde qu'à partir de son immense ego. 

Les USA se retrouveront fort probablement, s'il est élu en janvier prochain, avec  un homme très âgé à la tête de leur pays, mais je me console en sachant qu'une première Vice-Présidente issue d'une minorité visible saura le seconder, voire le remplacer si un malheur lui arrivait. Le choix de Kamala Harris (Dragon, en horoscope chinois) est, à mon point de vue, la meilleure chose qui puisse arriver aux Américains. 




Vivement le 3 novembre !

À bientôt


samedi 24 octobre 2020

L'OBSCUR MARIAGE

                                                                 l’obscur mariage

 

 

... la route file vers le soleil couchant,
 inconfortablement installée
dans ce bus bringuebalant
une dame dévisage l’horizon jaune...    

... semble inquiète, du moins peu empressée de quitter ce bus aussi vieillissant que la ville qu’elle épie à travers la vitre salie du véhicule vert et ne cesse de tripoter un ticket de passage. La dame sans âge trimbale un panier duquel les feuilles d’un quelconque végétal soubresaute au même rythme que le paquebot urbain qui la transporte. Parfois, elle en replace le contenu, puis reporte son regard à l’extérieur. Il ne pleuvra pas ; hier, le déluge a inondé la ville, y versant, par trombes incessantes, ses eaux tièdes.  La pluie ne la dérange plus... la ramène à son lugubre chagrin. Le trajet, la dame saurait le faire les yeux fermés, mais les yeux fermés elle ne verrait pas tous ces gens qui déambulent telles des marionnettes sans fils, dans ce lieu qui, par défaut, est le sien, devenu un refuge obligé : sa famille lui ayant fait comprendre qu’un enfant sans père n’a pas à naître dans ce village adossé au pied du Fansipan... Du Nord lointain, la voici dans ce Sud incertain. Enfreindre les règles d’une micro société c’est en être chassée, vulgairement expulsée. Difficile à oublier l’atmosphère qui régnait lorsqu’on lui indiqua la route à suivre pour ne plus demeurer ici ; elle dit là, maintenant.

... deux initiales tracées au coeur du roc
qu’encadre une volée d’hirondelles,
seules invitées à cette alliance inattendue
une noce sur la montagne...

 On en voit partout de ces éraflures couteleés inscrites sur la pierre ; de fougueux sculpteurs y ont inscrit, tout à côté du leur, le prénom de l’amourachée, espérant que plus tard, dans quelques années peut-être, y revenant, ils retrouveront le roc, puis, souriront malicieusement à la vue de l’épigraphe gravée dans un élan de passion, comme le signe d’un éternel amour, fiché à demeure. Le signe a souvent la vie plus longue...

 ...cette ruelle mène à une mistoufle
la dame seule s’y aventure
un ticket mâchouillé
entre les dents...

  L’enfant massacré, devenu un jeune homme aux yeux bridés, davantage si comparés à ceux de sa mère, étendu au sol d’une masure immonde, aura chassé les rats qui le guettaient, attendant un faux mouvement de sa part pour attaquer ses orteils difformes, lui arrachant un cri rauque. Il s’amuse de morceaux de bois, jouets dont lui seul connaît la vertu. Il fait obscur ici, et le jour et la nuit... on ne vit pas aux confins de ces venelles sans souffrir d’une vie urbaine étrangère aux couleurs de la montagne, ses brouillards du matin, aux pluies froides qui alimentent des torrents furibonds. Il est là dans la paralysie de ses mouvements atones, attendant une femme porteuse d’un sac rempli de légumes en feuilles...

     ...la montagne domine l’horizontal de la mer

ses cheveux verts ballottent
au mouvement syncrone d’un vent tiède   
charriant de fragiles oiseaux ...

  S’y prépare une alliance quotidiennement renouvelé, celle de la mer à la montage qui n’a rien à voir avec le Fansipan ; une colline, dirait-on dans le Nord qui ne connaît pas la mer, cette étendue sans fin cherchant à concilier l’éternité à la brièveté des marées. Le vent chante des psaumes tristes comme les sentiers menant à son sommet. Les hirondelles bleues et noires voltigent gracieusement avant de piquer, tête baissée, vers ces rocs stratifiés que des calligraphies difformes retiennent sur leur peau de liais impossibles à délaver. On prépare une alliance par contumace.

... et s’il fallait le redire encore
sous trop de poids gerce le froid calcaire
qui enfonce ses regards étonnés
sur la velléité du temps...

  Les pas de la femme frappent le vide d’une ruelle salie par l’humidité des saisons ; le bitume n’a pas été refait depuis tout ce temps qui vit passer on ne sait trop combien d’entre elles revenant du marché, un sac en rotin pendu à l’épaule écorchée, les yeux plissés de fatigue et des combats les confrontant au soleil. Il sera là, dans son impassible immobilité, certain de rien, de personne ; que trois gouttes de clarté imprévue. Ni sourire ni mots, quelques clins d’oeil provisoirement échangés, puis, la futilité du néant. Elle ne sait plus que faire de cet infirme aux yeux inconnus, aux mouvements répétitifs. Lui donne quelques légumes qu’il dévore goulûment avant de se retourner dans la froideur des murs suintants... sa demeure immuablement fixe. Elle ne l’aime pas, ne le déteste pas... il a trop vieilli pour cela. Enfant, elle le plaignait ; adolescent, elle le craignait ; jeune homme, elle ne sait plus que faire... qu’en faire. Longtemps, trop peut-être, elle lui souhaitait mort et délivrance.

... le vent parle à la mer
la montagne-colline répond
par des invitations paralysées
d’incompréhensibles borborygmes... 

 Au pied du Fansipan, la reine-montagne du Nord, point de macadam, que des parcelles d’étocs dévalés, puis écrasés là et ici encore, attendant d’être ensevelis sous d’autres rochers issus de son ventre. Sisyphe y perdrait patience. La colline, surplombant la mer, chasse à coups de varappes les hirondelles voyageuses ; elle servira de lieu pour cette noce célébrant une alliance bizarre. Les rarissimes promeneurs honorent sa virginité vieille de mille ans, celle de l’âge innombrable des passages du jour à la nuit. Jamais pénétrée sa pureté pisolithe ! La mer étale crache des ressacs qui lèchent les graviers de la plage bientôt foulée par ces silencieux cueilleurs d’escargots de mer qu’ils glisseront dans des paniers en osier, puis s’en iront... au bout de cette route sablonneuse.


 ... la dame s’est assise,
 courbée dans un silence de cadavre,
retrouvant la régularité du temps
dont elle ne peut se soustraire...

  Le jeune homme ne sait pas comment être triste. Il copie l’exactitude de ses gestes paralysés au grand cahier de sa permanence, transcrit les mêmes concetti, ceux de la veille, ceux des autres années : des balbutiements syllabiques, parfois des grognements qui auront mué avec le temps, devenus une épître dont il ne saisit pas le sens. Sa vie n’en a guère plus... qu’une ombre arrachée à son sempiternel encadrement uniforme : une femme part puis revient... des morceaux de bois sans vibrations, de petits quadrupèdes malicieux cherchant à le dévorer, des ombres qui grafignent la mouillure des murs... Il n’a pas de nom, n’en aura pas, jamais... ne sera qu’une inerte statue clouée à la mémoire d’une femme qui fut si belle dans le Nord, devenue si laide dans le Sud. On ne donne pas de nom à celui qui n’aurait pas dû être. Il n’est que l’avoir détestable de celle qui offrit son corps, croyant célébrer une noce.

... deux embrasures de vent se rejoignent
celle de la colline, l’autre, de la mer
alors qu’y surfent des hirondelles
autour d’êtres humains en marche...

 Elle, la dame-mère de celui qui la regarde, croquant le légume qu’elle lui a remis, n’aura que trop peu pleuré. De joie lorsque celui qui l’engrossa promit un anneau, un voile avant de noyer ses espoirs. Il devait faire aussi beau que le geste d’amour qu’ils partagèrent. Quelques instants à peine, l’espace entre frissons et soupirs retenus... Leurs mains abandonnées l’une dans l’autre... puis reprirent sans mot dire leurs contorsions de pantomimes... quittèrent, titubant d’exaltations vers la réalité qui bientôt les flagellerait du diktat populaire... elle se retira vers l’exil devenu son châtiment  

...elle le regarde comme on observe
à partir d’un hublot submergé
se bousculer rudement
des ombres fantomatiques...

 La candeur de ses hanches fut déchiquetée par des heurts répétés, des paroles fades, des espoirs embrouillés ; elle ne voyait, la dame-mère qui fut une jeune fille puérile, incrédule, ne voyait qu’à travers le rose de ses espérances, devenir une marchandise bon marché que l’on jette aux rebuts une fois utilisée. La route fut longue entre son désespoir et les chemins qu’elle vadrouilla pour arriver vers sa prison. Son ventre enfla, sa foi s’éclipsait au même moment. Arrivée, reçue par personne, le pont devint sa première demeure. Les souffrances qu’elle taisait, s’amplifiaient de jours en semaines, en mois. Naquit cet être difforme, aussi infirme qu’elle le devenait. Ses larmes se transformèrent en indigence, en détresse. Elle oublia le Fansipan pour mieux installer ses tribulations au coeur de sa vie. Le nourrir, devait-elle éviter de le faire afin de catapulter loin d’elle cet  horrible poupon... C’était sans tenir compte de la pugnacité de la vie qui la berçait froidement. Et il grandit comme le font les rocs des montagnes, les petites hirondelles en attente de becquée, comme les gouttes d’eau que la mer éclaboussent sur la grève... 

                                    ...ces inconnus, de leurs pas chuintants,
                                                    marchent vers un sommet
 
                                           les hirondelles ne les frôlent pas
                                                le vent qui ne les chasse pas

 Elle choisira un jour sans soleil, sans pluie, sans rien d’autre que les résonances d’une marche, celle de deux êtres unis par l’âme, deux silences s’acharnant à se taire pour étouffer le sacrifice d’une rédemption qui jamais ne viendra. Elle le tiendra par la main comme on soutient un être en déséquilibre, une créature sans existence, une ombre de sa propre ombre. Ils iront là  ils doivent se rendre, procession sépulcrale de deux fantômes. Les pas du jeune traînent lâchement tout à côté de celle qui mène un cortège désordonné. Et la lumière éclatera sur une obscure alliance... un mariage étrange... puis, le temps d’une chute, celle d’un jeune homme, provoquée...


                                                       ...la mer avale un corps
la montage se tait
dans un silence de granit
les oiseaux planent...

 La violence des vagues cherche à rejoindre l’abrupte montagne  les choristes d’un obscur mariage, ces oiseaux aux ailes écorchées d’avoir trop lisser des rocs, les matraquent sans crier gare, leurs bouches avidement ouvertes, muettes de cris assourdissant...

Une jeune femme sans âge redescend à pas funéraires et sans teintes, en marche vers le soleil couchant dans un horizon jaune...

 

mardi 20 octobre 2020

Visite de la prison Hỏa Lò (La Maison centrale) à Hanoi.



 La prison Hỏa Lò est une ancienne prison située à Hanoi au Vietnam, également appelée MAISON CENTRALE ou ironiquement Hanoi Hilton. Elle a été construite alors que l'Indochine faisait partie intégrante de l'empire français. Détruite en partie en 1990, elle est maintenant un musée.

La prison a été construite dans un quadrilatère de Hanoï où étaient regroupés plusieurs marchands de poêles à bois et à charbon. L'entrée principale s'ouvrait dans la rue Hỏa Lò dont le sens peut être traduit par fournaise, d'où le nom de la prison. Avec ses 12 908 m2, elle était alors l'une des plus importantes prisons d'Indochine.

La création de la prison est décidée par l'administration coloniale française chargée de l'Indochine à l'époque. Sa fonction consiste à incarcérer les patriotes vietnamiens et les combattants révolutionnaires. La Maison centrale ouvre ses portes en 1896 après trois années de construction. Elle demeure en activité jusqu'en 1954, date à laquelle elle devient une prison pour les criminels de droit commun, puis, de 1964 à 1973, pour les pilotes américains faits prisonniers.

Redevenu prison d'État à la fin de la guerre d'indépendance, l'établissement est en partie démoli pour permettre la construction d'un complexe commercial et résidentiel. Les 2 434 m2 restants sont classés monument historique en 1997 et transformés en musée.

Le musée est constitué de trois bâtiments de deux étages. Ils contiennent les cellules communes pour hommes et pour femmes, des cellules isolées pour les condamnés, les cachots et des salles d'exposition. Le site est entouré des murs de pierre originaux de 5 m de haut.

Parmi les objets exposés, se trouve la guillotine qui servait à exécuter les condamnés, des témoignages de la situation carcérale durant le régime français, ainsi que des documents et des photographies de prisonniers américains, dont un uniforme attribué à l'ancien candidat à la présidence américaine, John McCain.

Les bouches d’égout par lesquelles eurent lieu des évasions, notamment en 1945 lorsqu'une centaine de prisonniers purent ainsi s'échapper, sont exposées. En 1954, la prison abritait près de 2000 prisonniers retenus dans des conditions très difficiles et souvent victimes de tortures et de nourritures avariées.

Plusieurs pilotes militaires américains capturés ont été enfermés dans la prison, entre 1964 et 1973. Ce sont eux qui ont par dérision surnommé l'endroit le Hanoi Hilton. Le film The Hanoi Hilton relate cette période durant lequel plusieurs prisonniers ont subi des tortures et des sévices, les séquelles laissées sur les prisonniers libérés laissant peu de crédit au démenti des autorités vietnamiennes.  










Général Giap et son épouse qui fut prisonnière à Hoa Lo.















À la prochaine

mardi 13 octobre 2020

Quelques photos de Hanoi

 1) Quelques affiches signalant les 1010 ans de Hanoi:




                                                                                                                                   

2) Le Temple de la littérature, la plus vieille université du Vietnam. S'y tenait une exposition de l'ancienne écriture vietnamienne (au pinceau et encre de Chine)


                                                                                   






                                                                               



















3) Mausolée Ho Chi Minh









4) LA CITADELLE de Hanoi et la Parc Lénine



























À la prochaine

Un peu de politique à saveur batracienne... (19)

  Trudeau et Freeland Le CRAPAUD ne pouvait absolument pas laisser passer une telle occasion de crapahuter en pleine politique fédérale cana...