lundi 3 décembre 2007

Le cent quatre-vingt-huitième saut de crapaud


Il neige ce matin. Si le dicton s'avère exact, celui qui dit que le «3» fait le mois... eh! bien il faut s'attendre à un décembre enneigé...

La porte d'entrée de la maison, sous déjà quelques centimètres de flocons accumulés, devra être déblayée. J'y verrai cet après-mdi, alors que l'on prévoit une accalmie. Je suis davantage attiré par ce programme installé sur le bureau de mon ordinateur et qui indique, en temps réel, le temps qu'il fait à... Varadero. Oui. Varadero, Cuba. Catherine et son papa qui répond parfois au patronyme de grand-père ou celui du crapaud, tous les deux partent vers le soleil et la mer, dans deux dodos et demi... Il fait, pour votre information, 22 degrés Celsius et le ciel est traversé de quelques nuages.

J'espère, enfin je me souhaite, qu'au retour de cette semaine de vacances, l'inspiration reviendra. En effet, depuis quelques mois, on peut vraiment dire que tout est à plat. Je travaille actuellement - je crois en avoir parlé déjà - sur un texte qui me donne du fil à retordre; en fait, c'est un peu comme si à chacune des fois que je m'y rends, je le complexifiais... Déjà qu'il n'est pas évident. De plus, j'ai découvert sur la magique grande toile un site où la poésie règne en absolue maîtresse. L'intéressant c'est qu'il s'agit là d'un lieu de rencontre pour poètes et poétesses, en fait pour des gens qui s'amusent à écrire des poèmes et se plaisent à recevoir une fois ceux-ci lus, des commentaires en provenance des autres membres. C'est tout à fait éclectique et de belles découvertes sont possibles. Il est préférable d'écrire des poèmes que de brandir des armes. Je me rends compte que j'y suis régulièrement - au point de laisser un peu ce blogue - et encore plus le site... Peut-être une transition menant vers on ne sait quoi!

Je vous laisse donc ce petit saut et vous promets qu'au retour de Varadero, nous devrions nous rencontrer plus souvent. Oh! oui, le fameux texte qui me donne à suer et dont je vous parlais, il finira bien par s'achever un jour et atterrir ici.

Bonne tempête de neige et à bientôt.

Si Nathan avait su (12)

Émile NELLIGAN La grossesse de Jésabelle, débutée en juin, lui permettra de mieux se centrer sur elle-même. Fin août, Daniel conduira Benjam...